Biologie générale


 

Qu'est-ce qu'un oiseau de proie?

La croyance la plus largement répandue est qu’un oiseau de proie se distingue des autres espèces d’oiseaux du fait qu’il chasse et mange de la viande. Or, il existe d’autres espèces d’oiseaux carnivores dans le monde qui ne sont pas incluses dans la famille des oiseaux de proie. Par exemple, le grand héron, tout comme le martin pêcheur, est un mangeur de poissons. Cependant, ces deux espèces ne sont pas des oiseaux de proie, car elles ne possèdent pas l’ensemble des caractéristiques suivantes:

La meilleure façon de déterminer si un oiseau appartient à la famille des oiseaux de proie est d’observer attentivement ses pattes. Contrairement aux oiseaux qui attrapent leur nourriture à l’aide de leur bec, les oiseaux de proie utilisent leurs pattes pour saisir et tuer leurs proies. Ils possèdent donc des orteils très puissants, chacun terminé par une longue griffe recourbée que l’on appelle une serre.

 

Ils ont également un bec crochu et très coupant qui sert à déchiqueter la viande lorsque la proie est trop grosse pour être avalée en une seule bouchée. Rien n’est laissé pour compte dans la carcasse, tout est avalé. Ce qui ne se digère pas, comme les os et le poil, finit par être recraché sous forme de boulette de régurgitation. Ces boulettes qui peuvent être retrouvées au pied des arbres sont de bons indices de présence des oiseaux de proie. Tous les oiseaux de proie en font.

 

Toutes les espèces d’oiseaux ont une bonne vision, ce qui leur permet de voler en évitant tous les obstacles, mais les oiseaux de proie ont une vision encore supérieure, souvent binoculaire pour mieux évaluer les distances, et extrêmement fine. On estime qu’un faucon pèlerin peut apercevoir une proie de la taille d’un pigeon à plus d’un kilomètre de distance. Cependant, comme il est impossible d’évaluer la vision d’un oiseau à distance et que le bec crochu n’est pas unique aux oiseaux de proie, mieux vaut se fier aux pattes pour classer un oiseau dans la bonne famille!

 

Diurne ou nocturne?

La plupart des oiseaux de proie sont classés dans l’un des trois groupes suivants : les Strigiformes, les Falconiformes et les Accipitriformes. L’ordre des Strigiformes regroupe les chouettes, les hiboux et les effraies, qui, pour la plupart, chassent pendant la nuit. Ces oiseaux sont dotés d’une excellente vision de nuit, d’une ouïe très fine et d’un plumage soyeux permettant un vol silencieux. Toutes les espèces de faucons appartiennent à l’ordre des Falconiformes. L’ordre des Accipitriformes regroupe quant à lui les aigles, les buses, les éperviers, les busards et les balbuzards du Québec. Les espèces appartenant aux Falconiformes et aux Accipitriformes sont exclusivement diurnes, c’est-à-dire qu’elles chassent seulement entre le lever et le coucher du soleil, mais leurs habitudes de vie et de chasse varient d’une espèce à l’autre.

 

Les sentinelles de l'air

Comme tous les organismes vivants, les oiseaux de proie occupent une place dans l’environnement et ont un rôle particulier à jouer dans l’équilibre des écosystèmes. Leur importance est d’autant plus grande qu’ils sont considérés comme étant des prédateurs supérieurs, c’est-à-dire qu’ils se situent tout en haut de la chaîne alimentaire.

En se nourrissant d’animaux plus petits, ils contribuent de façon importante à contrôler leur abondance. Sans eux, les espèces proies, soit les petits mammifères (principalement les rongeurs), les petits oiseaux, les reptiles, les amphibiens et les gros insectes, pourraient se retrouver en trop grand nombre dans un même environnement. Il y aurait alors plus d’animaux que ce que le milieu peut supporter. Par exemple, dans le cas d’une surpopulation de lemmings, une espèce de petits rongeurs vivant dans le nord du Québec, ceux-ci mangeraient toutes les jeunes pousses herbacées disponibles, ce qui pourrait créer une famine affectant les autres animaux herbivores. Une population trop nombreuse de rongeurs peut également contribuer à augmenter la propagation de certaines maladies aux animaux et aux humains habitant dans une région donnée.

On mange vos indésirables!


 

On mange vos indésirables est une série de capsules sur l’importance des oiseaux de proie pour le contrôle des rongeurs en agriculture. Nous allons présenter quelques espèces et des exemples de cette aide. Vous pouvez en apprendre plus en venant visiter notre site naturel Chouette à voir! à Saint-Jude ou encore en consultant les capsules ci-dessous.

 

Sélectionnez votre sujet d'intérêt en cliquant dessus!

 

 

Position de l'uqrop


La position de l’UQROP sur l’utilisation abusive

de souris appâts pour la photographie

 

Vous pouvez aussi lire une autre prise de position en anglais et une autre.

Si vous ne croyez pas que l'appâtage puisse changer le comportement visionnez ceci.

L’utilisation de souris pour faire des images de Harfang des neiges, de Chouette lapone, de Chouette épervière ne date pas d’hier. Dans certains cas, la technique a eu du mérite. La fameuse affiche qui a « intronisé » le harfang comme emblème aviaire du Québec, au milieu des années 80, a fait connaître cette espèce au grand public. Les techniques utilisées pour réussir les images spectaculaires de documentaires de la National Geographic Society, de la BBC et même du film « Le peuple migrateur » ne reçoivent pas toujours l’absolution des amants de la nature. Par contre, des millions de gens viennent alors en contact avec la vie fascinante des animaux. Les gens sont alors plus en mesure de vouloir protéger toute la beauté de la nature et de poser des gestes en faveur de l’environnement.

Là où le bât blesse, c’est dans l’abus de cette technique pour attirer les Harfangs des neiges. La fréquence et l’utilisation massive de ce moyen peuvent mener à un dérapage. L’observation en nature d’êtres vivants exceptionnels est un privilège et non un droit.

À l'heure actuelle, il circule sur Internet des offres de forfaits pour aller « capturer » des images inoubliables de harfangs. Cette activité devient lucrative pour certains (jusqu'à 2 800 $ pour le safari photo!). Elle peut toutefois apporter son lot de conséquences négatives pour la faune ailée.

 

 

Qu'est-ce que cela implique?

Avant même de parler d’utilisation de souris vivantes comme appâts, le harcèlement d’un oiseau pour la photographie peut lui faire dépenser inutilement de l’énergie pour s’éloigner. En période d’hivernage, le harfang a l’habitude de se percher longtemps au même endroit et à des moments précis de la journée. Le pourchasser, pour obtenir le meilleur cliché, dérange ce comportement. Par ailleurs, il ne faut pas négliger le non-respect de la propriété privée par les chasseurs d’images comme par les ornithologues.

L’utilisation de souris vivantes pour se rapprocher des harfangs n’est pas sans conséquence. Voyons quelques-unes des implications possibles.

La source de souris pourrait représenter un danger. Les poisons à rongeurs sont beaucoup plus fréquemment utilisés qu’on ne le croit. Les souris capturées vivantes dans une grange ou même un lieu habité pourraient être contaminées par des rodenticides. La présence de ces produits dans les tissus d’oiseaux de proie a été documentée. Heureusement, les souris sont en général achetées en animaleries. Une animalerie près d’un site d’observation de harfangs nous a confirmé vendre des souris à la douzaine pour des fins de photographies de harfangs. On pourrait aussi se demander si l’utilisation en grand nombre de ces souris « domestiques » représente un risque d’introduction d’espèces non indigènes en milieu naturel.

L’alimentation à volonté et incontrôlée des harfangs pourrait mener à un surpoids de l’oiseau. J’entends d’ici les rires, mais nous avons déjà admis en réhabilitation une femelle harfang de 3,2 kg. Elle avait été capturée sur une île dans le Saint-Laurent. Probablement une île sans prédateurs et où les souris étaient en surabondance. Toujours est-il que cette femelle ne pouvait plus voler! Tous nos examens indiquaient que l’oiseau était pourtant en santé. Elle a subi une cure d’amaigrissement en volière. Nous avons pu constater l’amélioration de son vol. Finalement, ce harfang a pu être remis en liberté, lorsque son poids est revenu à la normale, soit vers 2,2 kg.

L’habituation (voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Habituation ) et le conditionnement (voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Conditionnement_(psychologie) ) à la nourriture risquent de se produire. Résultat, le harfang peut perdre le réflexe de crainte des humains, déjà pas très développé chez les jeunes harfangs qui n’ont jamais croisé la « bête à deux pattes ». Sur Internet et dans certaines conversations, on véhicule que le harfang en vient à s’approcher de la première voiture qui se présente. Il s’attend alors à voir une personne en sortir pour lui faire cadeau d’une souris bien dodue. Ce comportement vulnérabilise le harfang à se faire heurter par une autre voiture (cause très fréquente d’admission pour cette espèce dans le réseau de réhabilitation de l’UQROP) ou à s’approcher d’un humain moins bien intentionné. Plus de 35 Harfangs des neiges admis à l’UQROP depuis 20 ans ont été tirés au fusil, sans compter ceux non déclarés.

 

Qu’est-ce qu’on peut y faire?

À notre connaissance, il n’existe pas vraiment de réglementation qui peut intervenir dans cette activité. L’utilisation d’appât vivant pour la pêche est déjà illégale ou réglementée dans certaines régions du Québec et sous certaines conditions. Il existe présentement le projet de loi 52 qui vise certaines modifications de la loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune. Peut-être une piste pour définir des balises sur le genre d’activité.

La meilleure avenue est probablement la sensibilisation des ornithologues et des photographes (amateurs ou professionnels). Une réflexion s’impose aux photographes à modifier leurs comportements. Les photos obtenues peuvent être spectaculaires, mais tout le mérite d’une chasse à l’image respectueuse n’est-il pas disparu? Un code d’honneur ou un code d’éthique du parfait photographe devrait être encouragé. Un tel code favoriserait la cohabitation entre le photographe, l’ornithologue et l’animal.

C’est dans ce sens que les efforts de l’UQROP ont stimulé une convergence médiatique sur le sujet en février et mars 2010 :

— article dans Le Soleil le 13 février 2010;

— reportage à la radio de Radio-Canada à l’émission La Semaine verte le samedi 13 mars 2010;

— reportage à la télévision de Radio-Canada à l’émission La Semaine verte les 13-14 mars 2010;   rediffusion 8 et 9 janvier 2011

— promotion d’un Blogue sur le sujet en parallèle au reportage « Redonner des ailes » de la série Humanima à TV5 le 14 mars 2010

— reportage à la radio CIME.FM 103.9 à l’émission Vitamine-CIME le mardi 16 mars vers 7h50.

Pour toutes les raisons mentionnées ci-haut, nous invitons les photographes et les ornithologues à ne pas utiliser d’appâts vivants à des fins personnelles pour attirer des oiseaux de proie. Nous commençons une liste de gens ou d’organismes qui soutiennent cette position. Si vous voulez être ajouté à cette liste, communiquez avec nous.


  • Union québécoise de réhabilitation des oiseaux de proie
  • Société d'ornithologie de Lanaudière (SOL)
  • Serge Beaudette, photographe
  • Justin Lapierre, ornithologue amateur et photographe, membre du Conseil d'administration de la Société d'ornithologie de Lanaudière (SOL)
  • Pierre Hamel, Lanaudière
  • Richard Dupuis, ornithologue et photographe amateur
  • Pierre Sellier, technicien en faune et flore, ornithologue et photographe amateur
  • Daniel Portal, photographe Virtual PC
  • Lorraine Pinard, Longueuil
  • Suzanne Brûlotte, auteure et photographe
  • Michelle Boulard, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Michel Boulard, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Claudia Roberge, étudiante en biologie UQAM
  • France Laurens, Saint-Cuthbert
  • Serge Paulin, Saint-Cuthbert
  • Richard Dumoulin
  • Elen Sches
  • Jocelyne Feizo, photographe amateure
  • Angelora F. Quesnel, ornithologue et photographe amateur
  • Gilles Lacombe, ornithologue
  • Huguette Turmel, Saint-Hubert
  • Jean-Pierre Tousignant, Ornithologue et photographe amateur
  • Ève Bélisle, ornithologue et photographe amateure
  • Raymond Belhumeur, Saint-Hubert
  • Bernard Dugas, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Jane Cormack, Montréal
  • Younès Jellali, Coteau-du-Lac
  • Rolland Vallée, photographe amateur
  • Alain Dumas, ornithologue et photographe amateur
  • Johanne Paquette, ornithologue amateure
  • Jean-Pierre LaBrèche, photographe professionnel et ornithologue amateur
  • Evelyne Samson, ornithologue amateure et photographe amateure
  • Christian Chevalier, photographe
  • Julien Chamberland, ornithologue
  • Société protectrice des animaux Beauce-Etchemin
  • Céline Doyon, porte-parole S.P.A. Beauce-Etchemin
  • Linda Boucher, passionnée des oiseaux et du respect de la nature
  • Marie Rita Fortin, ornithologue et photographe amateure
  • Stéphane Guimond
  • Marcel Harnois, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Christine Pepin, Trois-Rivières
  • Raynald Veillette, Lavaltrie
  • Louise Alarie, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Marcel Mondor, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Serge Bonin, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Pierre St-Onge, Boucherville
  • Marcel Gauthier, musicien et ornithologue / photographe amateur
  • Daniel Ouellette, Saint-Laurent
  • Carole Beaulne, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Francine Tougas, Petite cour de l'Est, Montréal
  • Raymond Piché, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Louise Campeau, ornithologue
  • Jacques Larivée, Rimouski
  • Bruno Tremblay
  • Francine N. Piquette, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Benoit Piquette, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Louise Lemoine, Adstock
  • Roger Turgeon
  • Marcel Lanctôt, comité « Hibou Blanc », Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Sylvie Robert, ornithologue et photographe amateure
  • Louise Desjardins, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Huguette Émond, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • France Rivest, présidente du club photo Les amis de la photo de Terrebonne
  • André Viger, photographe amateur
  • Diane Viger, photographe amateure
  • Serge Dupré, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Daniel Samson, membre Club photo - Les amis de la photo de Terrebonne
  • Lisette Fleurent, membre Club photo - Les amis de la photo de Terrebonne
  • Sarah Landry, photographe et ornithologue amateure
  • Réjean Audet, photographe et ornithologue amateur
  • Pierrette Gaudet, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Réjean Duval, Montréal-Rosemont
  • Claude Bénard, membre du COMIR et photographe amateur
  • Johanne Bélanger, membre Société d'ornithologie Lanaudière
  • Pierrot Tellier-Machabée, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Denis Daigle, Montréal
  • Cathy Simard, Gatineau
  • Ginette Arcand, Saint-Hubert
  • Nathalie Lajeunesse, administratrice Forum Oiseaux du Québec
  • Sophie Rouette, ornithologue et photographe
  • Monique Bouchard, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Pierre Mourant, membre du COMIR
  • Josée Derouin, membre du COMIR
  • Jean Laferrière, membre du CORDEM
  • Doris Legault, Rosemère
  • Majella Pellerin
  • Louise Courtemanche, Bois-des-Filion
  • Yoland Gilbert, membre du CORDEM
  • Annie G'sell
  • Jonathan Roy, membre du CORDEM
  • Guy Gibeau, membre du CORDEM
  • Hélène Lafrenière, membre du CORDEM
  • Nicole Mayeu, membre du CORDEM
  • Charles-André Morency, membre du CORDEM et photographe amateur
  • Gaétan Langlois, membre du CORDEM
  • Christiane Bisson, membre du CORDEM
  • Patrick Therrien, modérateur sur Forum Oiseaux du Québec
  • Robert Leblanc, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Jeanne D'Arc Patenaude, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Manon Guglia, Rosemère
  • Geneviève Dubuc, technicienne en bioécologie
  • Denis Dumoulin, photographe amateur
  • Yvon Pigeon, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Monique Deschênes, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Louise Dumont, membre du CORDEM
  • Véronique Chartier et la famille Comtois
  • Paul Brunelle, Montréal
  • Pierre Boissonneault, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Yvon Trudel
  • Marie Morissette, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • France Dupuis, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Jacques Larocque, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Janine Pérusse, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Daniel Coderre, Joliette
  • Claude Ducharme, Sainte-Élisabeth
  • Josette Lamontagne, Sainte-Élisabeth
  • Lise Gagnier, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Suzanne Carioto, membre Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Gilles Vadnais
  • Angèle Gosselin, membre du CORDEM
  • Patrice Franche, mmebre SOL, CORDEM, COL, ROQ
  • Charlotte Dallaire
  • Lise Gagnier, Le Gardeur
  • Suzanne Carioto, Le Gardeur
  • Sylvie St-Pierre, membre du club des ornithologues de Québec
  • Rolland Gelly, photographe amateur, Le Gardeur
  • Michel Pagé, Saint-Vallier
  • Stéphane Hébert, ornithologue amateur
  • Ghislaine et Normand Delisle
  • Pierrette Hébert, amie des oiseaux
  • Pierre Hébert, Montréal
  • France Godbout, biologiste et photographe amateur, Mont Saint-Hilaire
  • Club des ornithologues de Québec (COQ)
  • Bernard Cloutier
  • Frédéric Tillier, photographe et président de l'AOMSL, France
  • Jean-Pierre Marcil, photographe amateur
  • Chloé St-Gelais-Grenier, étudiante en biologie, Montréal
  • Paulin Rodrigue, photographe amateur
  • Huguette Émond, membre de la Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Mario Caluori, membre de la Société d'ornithologie de Lanaudière
  • Louise Courtemanche, Bois-des-Filion, membre CORDEM, ornithologue
  • Raymonde Palardy, Sainte-Mélanie, Soc. d'ornithologie Lanaudière
  • Raymond Michaud, Sainte-Mélanie, Soc. d'ornithologie Lanaudière
  • Simon Audy et Juliette Nicko, amis des oiseaux
  • Suzanne Dugas-Forest, Saint-Jacques-de-Montcalm, Lanaudière
  • Jean Forest, Saint-Jacques-de-Montcalm, Lanaudière
  • Pascale Salzard, accompagnatrice de montagne, France
  • Chantal Berthiaume, artiste
  • Pierre St-Onge, Boucherville
  • Jeanne Lehoux, photographe naturaliste
  • Nicole Beaudet, ornithologue amateur, Sherbrooke
  • Robert Mailhot, ami des oiseaux et photographe amateur
  • Stéphanie Rodrigue, Lemoyne
  • Luc Ouellette, Sherbrooke
  • Janine Laurencin et Daniel Piché, Mont Saint-Hilaire
  • Michel Lamarche, photographe animalier, FindNature.com
  • Carole Besson
  • Catherine Lavoie, biologiste, Rimouski
  • Suzie Dubuc
  • Michel Bury, photographe de nature
  • Lise Rodrigue
  • Jeanne Lehoux, photographe naturaliste
  • Stéphanie Roy, Victoriaville
  • Gérard Desjardins, Outaouais, Club des ornithologues de l'Outaouais
  • Michelle Bolduc, Forum Oiseaux du Québec
  • Régis Fortin, Salaberry-de-Valleyfield
  • Louise Auclair, Laval, membre du COMIR, ornithologue
  • Donald Lapointe
  • Sylvie Laurence, biologiste amateur
  • Marie-Lise Beaudin, photographe et ornithologue amateur
  • Alain Lajeunesse, amant de la nature, ornithologue et photographe amateur
  • Sylvie Bernard, photographe amateur, Québec
  • Marie-Josée Lévesque, photographe amateur
  • Suzanne Labbé, photographe et ornithologue amateur, membre de Québec Oiseaux
  • Steeve R. Baker, ornithologue et photographe amateur
  • Christian Bergeron, ornithologue et photographe amateur
  • Manon Lessard
  • Julie Tristant, Montréal
  • David Lopez, Québec
  • Christian Detellier
  • Carole Labbé
  • Nicole Courtemanche
  • Denis Fournier, photographe animalier et technicien en gestion de la faune
  • Geneviève Gendron
  • Bruno Barrière, photographe amateur

Informations supplémentaires


 Liens vers de l'information sur les oiseaux de proie :

Regroupement Québec Oiseaux

Ministère des Ressources naturelles et de la Faune

Liens vers des sites intéressants :